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OLLIER de MARICHARD Jules
(1824-1901)


Recherches sur l'ancienneté de l'homme dans les grottes
& monuments mégalithiques du Vivarais (1869)

OLLIER de MARICHARD Jules (1869) Recherches sur l'ancienneté de l'homme dans les grottes & monuments mégalithiques du Vivarais ; G. Coulet (Montpellier) {76p. ; Rééd. (2002) Les premiers hommes en Ardèche - Recherches… ; E&R, 87p.}

  Extraits

Recherches sur l'ancienneté de l'homme dans les grottes
& monuments mégalithiques
du Vivarais

Extrait "Gouffre de la Goule"
{Rééd. p.32}

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08.04.2019 au 31.03.2024

   Jules OLLIER de MARICHARD est né le 11 avril 1824 à Vallon et décédé le 22 mars 1901 à Vallon-Pont-d'Arc, issu d'une famille de propriétaires protestants.
   Préhistorien, il était inspecteur des monuments historiques de l'Ardèche. En 1869, avec Paul Caralis de Fondouce, il découvrit à Durfort (Gard), le specimen de mammouth méridional exposé depuis 1898 dans la galerie de paléontologie du Muséum National d'Histoire Naturel à Paris. Il fouilla les grottes de Louoï, du Déroc et d'Ebbou.
   Il publia Recherches sur l'ancienneté de l'homme dans les grottes & monuments mégalithiques du Vivarais en 1869 - Monuments mégalithiques du Vivarais en 1882 - Explorations archéologiques dans les vallées d’Auzon, de l’Ardèche et d’Antraigues-sur-Volane en 1885.

   Voir plus de détails sur Widipédia et Persée.

 

 

p.88
« La galerie souterraine la plus curieuse à étudier est sans contredit celle de la Goule, dans laquelle se précipitent toutes les eaux pluviales de la plaine supérieure de la Bastide de Virac et de Vagnas, plaines dont la situation est à plus de 200 mètres au-dessus du niveau actuel de l'Ardèche, dans laquelle viennent se déverser les eaux de la Goule, à 100 mètres en amont du Pont d'Arc.
   Cette vallée couverte, ainsi que les dépôts extérieurs et intérieurs, sont admirablement décrits dans l'histoire naturelle de la France méridionale, par l'abbé Giraud-Soulavie, tome III, pag. 296 et suiv.
   Quelques hardis explorateurs ont tenté, de nos jours, de parcourir cet immense souterrain ; mais les éboulements et les précipices survenus dans l'intérieur ont rendu cette entreprise très dangereuse, si ce n'est impossible.
 »